“Les distributeurs ont clairement adopté le modèle anglo-saxon d’animation en permanence. Les enseignes ont dû gagner en professionnalisme pour cibler leurs meilleurs clients et ne pas abîmer leurs marges. Dans l’habillement, nous sommes dans une situation de sur-offre : le marché a toujours la taille de 2009, mais la surface commerciale a progressé de 30% si on prend en compte les ouvertures de centres commerciaux et si on traduit l’impact de e-commerçants en mètres carrés”